• Vous recevez une lettre de dénonciation de vos concours bancaires de votre banquier, vous signifiant que vous disposez de 60 jours pour rembourser :

Remarque :  Cette notification ne suscite pas immédiatement la naissance d’un état de cessation des paiements à raison de votre dette bancaire puisque le paiement réclamé n’est exigible qu’au terme du délai de 60 jours.

En revanche, il est judicieux avant cette date d’en anticiper les conséquences. (suite…)

Lire la suite

3 volets

  • 1er volet – Une situation active et passive pour déterminer l’impasse de trésorerie à l’instant t = trésorerie réelle
  • 2ème volet – Un prévisionnel d’exploitation, d’investissement, et de trésorerie = avec une validation de la cohérence des hypothèses retenues
    • Une première conclusion : de quelle durée a-t-on besoin pour pouvoir payer les dettes arriérées (= impasse de trésorerie à l’instant t) avec le cash flow prévisionnel, afin de s’orienter vers une solution juridique adaptée.
  • 3ème volet – Solutions juridiques adaptées

(suite…)

Lire la suite

Lire la suite

Organisé par Emmanuelle Gagliardi, de l’agence CONNECTING WoMEN, le Printemps du Networking est la plus grande rencontre de réseaux professionnels féminins.
(suite…)

Lire la suite

Dans le contexte économique actuel, l’équilibre financier de votre officine peut se trouver fragilisé. L’Ordre des experts-comptables propose des solutions pour vous aider à faire face aux difficultés […]

Téléchargez l’article

Lire la suite

Lire la suite

Dans un communiqué du 7 mars 2013, la Banque de France rappelle qu’en 2012, le nombre des défaillances d’entreprises s’est élevé à 61 214, soit une hausse de 2,7 % par rapport à 2011. Cette augmentation, relativement faible en volume, touche structurellement des entreprises de taille de plus en plus importante. Si la conjoncture est en grande partie responsable de cette aggravation du nombre de défaillances, trop d’entreprises disparaissent du paysage économique sans avoir eu toutes les chances de poursuivre leur activité. L’anticipation et la gestion des risques constituent aujourd’hui deux éléments essentiels du développement des entreprises, quelle que soit leur taille. Les premiers indicateurs d’alerte de la détérioration de la santé financière traduisent le plus souvent une incapacité à assurer le paiement des dettes courantes.

À ce stade, si la pérennité de l’entreprise n’est pas en jeu, des solutions peuvent être mises en oeuvre :
– pour échelonner le paiement des dettes fiscales et sociales par la saisine de la Commission des chefs de services financiers (CCSF) ou du CODEFI pour les entreprises de moins de 400 salariés et le CIRI pour celles de plus de 400 salariés ;
– pour gérer les dettes des fournisseurs, bailleurs, banques notamment par la désignation par le président du tribunal d’un mandataire ad hoc ou d’un conciliateur ou encore par la médiation du crédit pour les dettes bancaires exclusivement.
(suite…)

Lire la suite

Y penser toujours, n’en parler jamais : telle pourrait être la devise des responsables politiques à propos de la rigueur. Le mot est quasiment tabou mais la réalité nous rattrape jour après jour, à coup de hausse du chômage, d’endettement public croissant et de conjoncture morose. L’élastique se tend.

En parler toujours, ne le trouver jamais : telle pourrait être à l’inverse la vision que l’on pourrait avoir de la croissance, fameux objectif de tous les gouvernements et qui nous fait cruellement défaut depuis plusieurs années. Encore notre économie a-t-elle un peu résisté grâce à une consommation résiliente – pour combien de temps s’interrogent les économistes – alors que l’investissement est peu vaillant et que la balance commerciale demeure dans le rouge.

Et pourtant, affirmons-le ici : la rigueur – qui aura les vertus du réalisme et de la volonté de s’attaquer enfin aux lourdeurs françaises – et la croissance ne sont pas incompatibles. Bien au contraire. Certes, on connaît les maux : rigueur extrême, récession, rigueur, etc. Pour autant, repousser trop longtemps des décisions de réforme ne relève pas d’une bonne politique. Mais comment faire pour éviter que cela ne se traduise en baisse voire en effondrement de l’activité ? La réponse, nous l’avons entre les mains, nous tous qui, par nos fonctions, accompagnons les petites et même très petites entreprises françaises. Nous savons quel potentiel de développement et de résistance à la crise elles recèlent. Nous savons aussi à quelles difficultés elles peuvent être confrontées au quotidien et comment un soutien, financier, juridique, commercial, peut les aider à traverser une mauvaise passe, faute de quoi, elles peuvent tout autant disparaître.
(suite…)

Lire la suite